Le Ramadhan s’annonce, sur le bout des pieds, peut être à contre cœur, chez nous ce n’est pas la joie, lui il aurait peut être encore une fois, sentant cette atmosphère, préféré se faire inviter sous d’autres cieux !!
Cette année, une litanie presque, ou eternel recommencement, pour la masse laborieuse, comme on les appels pompeusement, moi je dirais les bourses flasque, ils auront un peu plus de cheveux blancs bientôt si cela n’est fait, il ne restera pas une touffe, rien à blanchir !
Apres une journée et sa fatigue, d’un labeur honnêtement gagnée.
Commençons par le commencement.
A Ighil Mahni, la fête bat son plein, c’est la circoncision du fils de A.Mohamed, le petit Amirouche, un prénom prestigieux !
Cette fête s’est poursuive jusqu'à l’aube, chant et danse sous la houlette d’animateur, en français, Disc-jockey en anglais et chez nous un Mounachate ! Dans le langage de notre RTA.
Le lendemain, une coutume, la mère de l’enfant, ou l’une des parents va de maison en maison, offrir des beignets et des œufs.
N’est ce pas merveilleux de notre temps, drôle de temps sois dis en passant, grâce à Dieu les coutumes, ces coutumes ancestrales ne ce sont pas perdus.
Le vendredi, après la prière le jeune Imâm annonce, un autre événement issu de ces mêmes coutumes, la célébration de l’arrivée de ce mois bénis, qu’est le Ramadhan, par une « Wahdâa » ou tout le monde est convié.
Il est vrai nous sommes loin, j’ai aimé que ce soit encore plus loin d’Alger, avec son clinquant ou son vernis trompeur de certains endroits, pour d’autres cela ressemble à un des pays d’Asie ou autres, avec sa foule bruyantes et sa saletés !! Une capitale, cela ressemble plutôt à une bourgade sans âme, ou le tableau peint par l’auteur de Notre Dame De Paris !!
Alger, ta propreté à foutue le camp !!!
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