mardi 10 août 2010

Ramadhan…Ighil Mahni…La Casbah !





(Suite du précédent billet)

Alger, lors d’un des rencontre ou colloque, initié par le Ministère des affaires religieuses, il parait que des imams ont refusé de se mettre « au garde à vous », lors de la diffusion de l’hymne National, pour cela ils ont été sanctionnés.
Un vendredi après cet incident, à la grande mosquée d’Alger, la kotba fut l’occasion pour un tribun de ce lancer, dans une diatribe sans fin menaçant de tous les foudres ces récalcitrants.
De part son discours, c’était pire que des traitres à la patrie, un pas peut être, qu’il n’a pas  franchit, dans son subconscient ?
Le dialogue c’est quoi, il n’existe plus dans notre lexique, donc, dans notre manière de vivre ensemble !!
Une idée m’est traversée l’esprit, il est vrai un esprit quelque peu « vagabond, pourquoi « El ikama » ne serait elle pas faite avec Kassamen ?
Alger, toujours une décision du même ministère, concernant les prières prochaines à l’occasion du mois bénis qu’est le Ramadhan, je cite :
 « Une orientation celle  d’alléger les longues prières du ramadan, d’autant plus que pendant les journées, les grosses chaleurs fatigueront certainement les citoyens, poussant vers un allègement des prières pendant le soir, l’année passée, des citoyens s’étaient plaint au Ministre concernant certains imams qui allongeaient les prières « tarawihe » jusqu’à l’épuisement des fidèles », fin de citation.
L’année passée, pour exemple à la même Moquée, les climatiseurs de cette mosquée, à la veille du Ramadan ont été réparés par une âme charitable, au fait il n’existe pas de service d’entretien relevant de l'autorité concerné par la gestion des mosquées, pour parer aux problèmes  ménager ou autre des mosquées ?
Ceci dit, le ou les préposés prennent un malin plaisir à diminuer l’intensité de ces climatiseurs, économie de bout de chandelle, au détriment du confort et cela en sus de la pénombre (Extinction d’une grande partie de l’éclairage de l'intérieure de la mosquée).
La prière ce déroule alors, dans une fournaise, l’une, des salles réservée aux  femmes, c’est pire absence de climatisation, deux  ventilateurs, un en panne et le deuxième, dés le début de la prière, il est éteint ! Peut être pour signifier à cette partie (femmes) de retourner à ses fourneaux !!
Dés la fin de la prière, c’est le bouton « Off »(ou « Ouf ») qui est actionner une manière de signifier aux fideles de plier bagages les fonctionnaires ont terminés leurs  taches !
L’on ne peut, s’empêcher de rabâchés  la même rengaine ; Hier ce n’était pas du tout cela !
La mosquée pour le commun des mortels, c’était un havre de paix, ne serait serais qu’un laps de temps, aux turpitudes de la vie et Dieu seul sait, les privations qu’a connu notre peuple aujourd’hui que se passe t‘il ?
C’était un endroit ou des différents aussi infimes étaient réglés, ou l’on ne manqué jamais, de parfaire ses connaissances, en assistant à des cours dispensés par les imâms.
Aujourd’hui, le gens ne quittent pas la mosquée dés la fin de la prière mais ils s’enfuient, ou sont les éducateurs d’antan….Et ceux d’aujourd’hui ?
Cela me rappel, un stade le jour d’un derby local, que font nos éducateurs pour y remédier, tous en spectateurs, nous le sommes aussi, hélas, mais à un degré moindre.
Alors, abrégé « les souffrances » des fidèles, et oui comme cela nous aurons plus de temps pour aller faire une partie de dominos ou belote, ou celle de « subir » un de ces chanteurs importés à grands frais !!
Cette année, les Algériens à la bourse flasque auront un bout de viande, mais sacrilège une viande indoue, ce n’est pas un sacrilège manger une divinité ?
Cette viande serait celle du *buffalo bubalus indien, selon la presse, il s’agit d’un buffle et non d’un bœuf.
Un conseil on vous rendant chez votre boucher ou celle du coin, avant de vous faire service pour les ouïes fine, se rapproché suffisamment des quartiers de viandes et écouter pour distinguer la viande locale de la viande indoue.
Dans le cas ou c’est de la viande indoue, vous entendrez la célèbre chanson « Djanitou » !!






*Le buffle domestique, aussi connu en langue française sous les noms de buffle d'Asie, buffle d'eau, kérabau ou karbau, est un bovin de grande taille, l'espèce-type du genre Bubalus sp., qui comprend plusieurs autres espèces originaires d'Asie tropicale.
En d'autres langues, et selon les races et les pays, il a plusieurs noms : arni, kerabaü etc. Il ne faut pas le confondre avec le buffle d'Afrique, qui appartient à un autre genre (Syncerus sp.) et a une morphologie bien spécifique.
À l'état sauvage, le buffle d'Asie est une espèce en danger, inféodée aux marais les plus reculés d'Asie du Sud et du Sud-Est. Mais la forme domestiquée de la même espèce correspond à celle de l'un des animaux domestiques les plus courants et les plus typiques en Chine, dans le sous-continent indien et en Asie du Sud-Est ; elle est particulièrement appréciée pour son lait et en tant qu'animal de bât.
Comme chez le bœuf domestique, il en existe plusieurs races, dont certaines ont été exportées loin de leurs terres d'origine : depuis plusieurs siècles, le buffle est élevé au Proche-Orient, en Tunisie et au sud de l'Italie (où son lait sert à fabriquer la mozzarella). Plus récemment, il a été introduit dans le nord de l'Australie, où des animaux échappés des élevages ont eu tendance à proliférer.
Source Wikipedia


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