mardi 2 juin 2009

Cheikh Ezzahi....Cheikh El Hasnaoui même destin ?





Il fut prit en sympathie, par une famille du quartier les RHIMANI parent du narrateur, dont le chef de famille Âami Moh un bel homme avec sa chéchia Stamboul, et ses grandes moustaches, toujours bien habillé, jovial un boutentrain, il demeurait rue Denteuil, avec sa belle mère (grand mère du narrateur), 






de l’autre cotée de la rue le bâtiment ou habité la famille BADAOUI.


Son endroit prédilection un café du quartier « EL KAWAKIB » (Les étoiles) ,...



...faisant l’angle de la rampe vallée et la Medersa de Abderrahmane ETAALIBI, qui malheureusement, aujourd'hui, s'est scindé en deux boutiques de parfumerie et ventes de tabacs, on n'arrête pas d'effacé le passé.
Amar commença à s'intéresser au milieu musical, il est vrai, il avait une voix empreinte de quelques chose d'indéfinissable, mélancolique et d'une douceur, qu'on ne peut oublier déjà à l'époque. 


Hadj Rezki Badaoui (au centre) assis Hadj Menaouer
et Aâmi Moh était des beaux- frères par alliance, (leurs épouses étaient des sœurs).
Le beau-frère de ces deniers était Hadj FOUILA Ahmed, économe et administrateur de la Medersa d’Abderrahmane ETAALIBI, et entraineur joueur du Mouloudia d'Alger.




De ce fait, Amar trouva au sein de ses familles, tout le soutien et l'aide qu'il lui fallait, pour ce faire un chemin dans ce monde à part.
A l'époque Hadj Reszki BADAOUI possédait un salon de coiffure 




prés du quartier Sidi Ramdane (référence à la mosquée toute proche)
Ou se rendaient très souvent, Cheikh Boudjema El Ankis, Cheikh Omar MEKRAZA et autres musiciens....A suivre




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