mardi 2 juin 2009

Cheikh Ezzahi.... Cheikh El Hasnaoui même destin ?





Mon ami Amar

Le narrateur se souvient des jours passés à la crique et aux deux chameaux, avec Abderahmane Bocasse (Paix à son âme).

En ce temps, une marque détergent, pour ne faire ni de publicité gratuite ni payante, offrait des jouets dans ses grandes boites.

Parmi ces jouets on pouvait trouver des guitares en nylon avec cordes et autres accessoires,notre ami Amar, en possédait une, il agrémentait notre bronzage en entonnant des chansons d’un Maître El Hasnaoui !

Le narrateur revient un peu en arrière, c'était hier ! 

Amar AIT ZAI est arrivé à Alger à l'âge, environ, de 13ou 14 ans, de son patelin d'origine Ain El Hammam (Willaya de Tizi Ouzou), ou il est né un premier janvier de l'année 1941.

Orphelin de mère et de père, Ezzahi a longtemps vécu avec sa seule tante, au quartier dit « La Rampe Vallée », celle-ci décédée, un premier vide est créé dans la vie d'Amar.

Il fut prit en sympathie, par une famille du quartier les Rhimani parent du narrateur, dont le chef de famille Âami Moh un bel homme avec sa chéchia Stamboul, et ses grandes moustaches, toujours bien habillé, jovial un boutentrain, il demeurait rue Denteuil, avec sa belle mère (grand mère du narrateur), de l’autre cotée de la rue le bâtiment ou habité la famille Badaoui...

A suivre

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