mercredi 3 juin 2009

Cheikh Ezzahi....Cheikh El Hasnaoui même destin ?



Amar fit la connaissance du Cheikh Boudjema El Ankiss, qui lui prodigua aide et conseils, d'où son répertoire au début était constitué de chansons interprété par son ainé (Cheikh Boudjema El Ankiss), conjointement il fit la connaissance de Cheikh Kabaili, (Mohamed Brahimi), qui tenait un café dans le quartier de « Djamâa lehoud ».


Par Cheikh Kabaili


On reconnait sur la photo à gauche Moh Seghir et à sa droite Mohamed "Tailleur"



Il se tenait en face du café, à coté du cabinet médical du Docteur KERBOUCHE, un médecin de famille, du quartier et des environs toujours disponible, un mérite.

En 1963, il rencontre cheikh Lahlou qui l'encourage, et lui remet d'ancienne qacidate tout en lui donnant des conseils sur le rythme avec lequel ces textes étaient chantés.

A cette époque, le lieu de rencontre de Cheikh Lahlou était la pâtisserie, d’un autre jeune mélomane Boualem Rahma, qui faisait aussi ses débuts sous la houlette du même Cheikh (Lahlou).

Autodidacte, il apprendra le chaâbi sur le tas.

Il aura la chance d'avoir, dans son orchestre, durant quinze ans, un musicien de talent qui lui a transmis plusieurs qacidate, il s'agit de cheikh Kaddour Bachtobdji avec lequel il a commence à travailler en 1964, et entre autres Mustapha Belhadj au banjo et Nourredine Rhimani à la derbouka,
(Paix à leurs âmes voir la vidéo),Amar Kazi au tare et plus tard H'issen.
 

daboudj48

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