Les pères de
famille ceux ayant, un revenu régulier pour ne pas dire presque régulier,
acheter chez « Azrine » et certains épiciers de quartiers à crédit le
règlement, se faisait généralement par semaine et des fois par mois.
Le client
possédait un carnet ou était noté tous les achats effectués, et un autre chez
l’épicier le crédit ne s’accordait qu’aux habitants du quartier bien sur et aux
bons payeurs.
Ce moyen
permettez aux marchands d’écouler sa marchandise, vu le pouvoir d’achat de
l’époque, et aux clients de s’approvisionner dans une certaine mesures,
presque à l’aise.
Les
professions à l’époque étaient dockers, des fois pour les plus costauds, et des
fois même les moins nantis physiquement, ayant des charges familiales
importantes, prenaient un double shift (prendre deux fois le poste), pour
augmenter leurs gains.
Autres
professions, portefaix, marchands ambulants, éboueurs et pour les plus chanceux
qui avaient des étals, marchands de poissons et pécheurs, les français raffolés
de poissons ,de ce fait, ce métier était lucratif.
Ces gens
généralement étaient originaires d’une contrée bien précise Azzefoun, on
raconte que le charbon de bois était embarqué à destination d’Alger, le port
était situé sur le bord du golf nommé à bon escient Mers El Fahm (Port aux
charbons)
Ces gens
venus d‘Azzefoun, étaient des érudit en sciences islamiques, des hommes de
lettre et des mélomanes nés, n’oublions pas ses martyrs qui ont donnée leurs
vies pour notre liberté.
Nous
citerons, Cheikh Amar SOLTANI, Cheikh Tayeb RAHMANI, Cheikh Tahar AMAR, Cheikh
M’hand Ouameur, Cheikh Mohamed Salah Essedik.
Des hommes
de lettre, Tahar DJAOUT et HADJ ALI Bachir, des comédiens, cinéaste, peintre et
musiciens.
Mustapha
BADIE (BERKOUK Arezki), Mohamed ISSIAKHEM, ABDOU Mohamed, Mohamed HILMI
(Mohamed Ameziane IBRAHIM) ses frères Said et Brahim, Rouiched (AYAD Ahmed) et
ses frères et demi frères Hadj M’rizek (CHAIB Arezki) M’hand “Aroumi” Kiouidji,
Moh Akli le sympathique et toujours souriant joueur de tar, Ali ABDOUN.
FELLAG
Mohamed Said, le maestro IGHERBOUCHENE, ayant prit le nom de Igor
BOUCHEN, par nécessité à l’époque, la colonisation ne permettez pas au Algérien
aucune ascension.
Le grand
maitre Hadj M’hamed EL ANKA (AIT OUARAB M’hand Ouidir), ses élèves Omar
Mekraza, Boudjema EL ANKISS (BOUDJEMAA Mohand Arezki), Abdelkader CHERCHAM, et
sur un autre registre « H’nifa » et tant d’autres.
Le narrateur
a faillit oublier EL HADJ Said, dans des habits traditionnels toujours de
couleur blanche, que l’on rencontre à ce jour, très souvent à Djemâa El
Kebir.
Cela n’est
qu’une liste exhaustive, de gens mémorables, le narrateur tient à présenter ses
excuses auprès de ceux ou de celles omis ici, il se fera un devoir d’y
remédier...
Né le 24 septembre 1943 à Alger, originaire de la région d’Azeffoun, plus précisément du village d’Ait Rehouna,Mohamed Ifticène est une figure de proue dans le cinéma. Issu de l‘éphémère Institut National du Cinéma, ses débuts dans le 7 ème Art balbutiant remontent à 1964. Sa carrière se confond avec la naissance du cinéma en Algérie indépendante. ...A suivre
Ait Rehouna en médaillon Mohamed Ifticene en 1982
Né le 24 septembre 1943 à Alger, originaire de la région d’Azeffoun, plus précisément du village d’Ait Rehouna,Mohamed Ifticène est une figure de proue dans le cinéma. Issu de l‘éphémère Institut National du Cinéma, ses débuts dans le 7 ème Art balbutiant remontent à 1964. Sa carrière se confond avec la naissance du cinéma en Algérie indépendante. ...A suivre
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