Un climat mi-figue mi-raisin, mais malgré tout sans fumée et
autres de la vie infernale des villes et même certaines contrées éloignées
ayant eut le malheur d’être rejoint, malgré eux par la supposée modernité, à
l’emporte pièce !
Ce fut un Aïd el adha, il est vrai pour certain un peu terne
au vue des prix pratiquées par nos éleveurs et surtout, nos commerçants d’un temps,
se pointant à chaque année avec leurs moutons à chaque coin de rue.
Chez nous il a était fêté comme chaque année avec ferveur et
beaucoup de chaleur, malgré des absents, mais ils étaient présents dans nos
cœurs, à l’année prochaine in chah Allah !
Lever à 06 heures 30 minutes, pluie par intermittence, il
faisait un peu froid, mais supportable.
Début de la prière à 07 heurs 45 minutes et sermons d’usages
par toujours notre futur médecin Mohamed A., accolades et souhaits entres les présents
à la fin du rite.
C’est les retrouvailles, comme à chaque événement aux
villages avec la diaspora des villes, j’ai eu le plaisir de rencontrer entre
autres, notre bourru et sympathique Ferhat M., M’henna, Mustapha l’électricien,
mon frère Tahar A. étant absent, alité, je lui ai rendu visite.
Une autre absence, toujours au premier rang, avec ses
habites traditionnels d’une blancheur éclatantes, Aâmi Ali, Hadj Ali Askri.qui
nous a quitté l’année passée un certain vendredi 17 février, bien d’autres
n’ont pas fêté avec nous cette fête, paix à leurs âmes, hier Abba Boudjemaâ,
notre grand mère Tassadit Askri !
Notre ami Mohamed A.
avec son mouton récalcitrant et sa vieille mère, toujours alerte que Dieu la préserve.
J’ai rendu visite à mon autre frère Hend Oussaâ A. accompagné
de ceux qui demain honoreront comme il se doit, notre village à ma disparition
et cela sans faille tel est mon souhait in chah Allah !
Alger il a plut à torrent, dans certaines localités en parlant
d’Alger je crois que c’était la capitale autrefois, avec ses fleurs aux
balcons, ses arbres à perte de vue et notamment dans les grandes artères.
Elle est hideuse, c’est les scènes du vécue décrit par Victor
Hugo, dans son célèbre ouvrage « Notre Dame de Paris ».
Hideuse avec sa saleté à chaque coin et recoin de rue, avec
ses travaux qui n’en finissent pas, avec ses tôles de séparations, séparer
quoi ?
...A suivre
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