D’autre jeunes venus de différents endroits en sus ceux des environs immédiats, « manie » un commerce appelé en jargon officiel « commerce informel » en tous genres.
Ce commerce semble battre de l’aile ces temps ci sous les « coup de butoirs » des agents de l’ordre, pour discipliner ce magma toujours informel, un magma ne peut être qu’informel !!
Une question, que ce pose ces dits jeunes ont-ils d’autres issus ? Pour être ?
Nous ne le pensons pas, un jeune à des besoins propres, sans être anarchistes, nous préférons le voir s’occuper à parfaire son étal de fortune, que de taper nos poches et celle des autres !
Ces commerçants informels, restons dans l’inorganisé, un des synonyme de ce terme, meublent leurs besoins « de soleil », pas avec des liasses de billet de banque, en allant s’achalander en marchandise en tous genres, pour la revendre avec une maigre marge bénéficiaire.
Cette marchandise, est acquise, généralement chez les grossistes de Bâb Ezzouar ou Hamiz, avec de petits billets, prêtés par la famille ou des proches et des fois par des copains.
Cette marchandise et exposé sur des semblants d’étals, là aussi très souvent bricolé ou fait chez le menuisier du coin.
Ce capital ainsi acquis peut partir en fumée, à la moindre descente des agents de l’ordre, en sus des poursuites, « commerce informel », nous dirons commerce aléatoires.
Une question, il est vrai il y’a foule de questions mais…, quel débouché offrir à tous ces jeunes au lieu et place de cette incertitude du lendemain, si ce n’est de l’instant ?
Les laisser prendre la fuite, sur une barque de fortune, après avoir trimé sous une chaleur torride ou sous une pluie diluvienne et le cauchemar de la saisie, « le magot » ainsi amassé pour remplir les poches d’un « flibustier » pour des horizons inhospitaliers, si ce n’est le retour dans une caisse !!
De grâce aidons ces jeunes à se frayer un chemin, ce sont nos enfants, bon gré mal gré merci !!
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