mardi 13 juillet 2010

"El Mahroussa"...Hommage à Momo !



 (suite du précédent billet)

  C’est un personnage qui a hérité de la rudesse d’une région et d‘une autre le lyrisme, avec son éternel couffin et ses habits traditionnels, saroual et gilet traditionnel aussi.

Ce personnage, ne peut et n’a jamais put être dissocié de notre Mahroussa, comme il aimait à la dénommée et comment ! Tellement il l’incarnait, son amour fou pour notre cité, à travers ses tendres envolées, mêlées aussi d’une certaine amertume, dans son langage propre.

Ce langage, ne pouvait être compris par le premier venu, à travers lui et d’autres personnages Mohamed Zinet, une rencontre ? Qui donna lieu à « Tahia ya Didou », un film « malicieux » tourné dans le cadre de la promotion de la ville d’Alger, dont la teneur grâce à notre enfant de Bab Ejdid, en un hymne à notre Casbah !... 

A suivre, oui il y' a et il y aura toujours une suite jusqu'au dernier souffle d'une vie !

Daboudj1948 
  

  ...Puis soudain une suite !





Le fou de la Casbah

Toi le rappel de la bonne nouvelle
Cette bonne nouvelle qui fait peur
Elle terrorise et elle étouffe
Elle étouffe tous les serpents

A toi et Al Hamdou Lilah
Tu as réussi a épater ces initiés

Qui pensaient avec leurs secrets
Détenir des mots sacrés
Tu as dévoilés tous leurs tours
Les tours de tous les vautours
Qui nous vendaient de l'illusion
Et des mirages d'un autre temps

Nous diviser pour régner
Afin de nous faire rêver
Au nom de l'amour et de la liberté

La liberté comme le silence
Ce silence qui fait du bruit

Car il affiche son Ijtihad
Il affiche son examen
Il affiche sa liberté
La liberté qui ne fait pas semblant
La liberté de la Clémence et de la Miséricorde

Cette liberté de l'islam
Qu'ils font semblant de découvrir
Des êtres libres pas des soumis
Des êtres tout simplement qui prient
L'Amour de Dieu dans la Lumière

Alors toi le fou de Mienne Casbah
Voilà Inchaâllah ce qui t'attend
C'est ce que Allah reserve à tous les enfants
Les enfants qui n'oublient pas la terre





Un amour mirobolant,sur toi Inchaâllah
Toute la douceur

Celle des anges du paradis
Qui nous attendent nous tous
Les frères et soeurs
De tous les enfants de la terre

Merci au silence qui fait du bruit
Le silence dans le désert et dans les plaines
Le Silence de la Liberté
Le Silence de l'Insoumis
Le Silence de la Folie

Momo assuma surtout sa folie
De ne pas croire à l'utopie
Ni aux miroirs aux alouettes
Son Salut fut sa Sagesse
La Sagesse de la Lumière
La Lumière de toutes les Lumières
La Lumière de la poussière du Sahara
Et de la poussière de la Casbah

Cette lumière suivait un chemin
Le chemin de la Sagesse

Sa francité voulait le posséder
Le posséder sans le libérer
Il choisit alors un chemin
Celui de la langue de ses aîeux
Qui le mena à la Casbah
Ce chemin s'appelait EL HOURYA.

EL HOURYA

19 septembre 2012



Le monde "Des vivants" et celui des Morts, presque côte à côte !



1 commentaire:

Anonyme a dit…

Le fou de la Casbah

Toi le rappel de la bonne nouvelle
Cette bonne nouvelle qui fait peur
Elle terrorise et elle étouffe
Elle étouffe tous les serpents

A toi et Al Hamdou Lilah
Tu as réussi a épater ces initiés

Qui pensaient avec leurs secrets
Détenir des mots sacrés
Tu as dévoilés tous leurs tours
Les tours de tous les vautours
Qui nous vendaient de l'illusion
Et des mirages d'un autre temps

Nous diviser pour régner
Afin de nous faire rêver
Au nom de l'amour et de la liberté

La liberté comme le silence
Ce silence qui fait du bruit

Car il affiche son Ijtihad
Il affiche son examen
Il affiche sa liberté
La liberté qui ne fait pas semblant
La liberté de la Clémence et de la Miséricorde

Cette liberté de l'islam
Qu'ils font semblant de découvrir
Des êtres libres pas des soumis
Des êtres tout simplement qui prient
L'Amour de Dieu dans la Lumière

Alors toi le fou de Mienne Casbah
Voilà Inchaâllah ce qui t'attend
C'est ce que Allah reserve à tous les enfants
Les enfants qui n'oublient pas la terre
Un amour mirobolant,sur toi Inchaâllah
Toute la douceur

Celle des anges du paradis
Qui nous attendent nous tous
Les frères et soeurs
De tous les enfants de la terre

Merci au silence qui fait du bruit
Le silence dans le désert et dans les plaines
Le Silence de la Liberté
Le Silence de l'Insoumis
Le Silence de la Folie

Momo assuma surtout sa folie
De ne pas croire à l'utopie
Ni aux miroirs aux alouettes
Son Salut fut sa Sagesse
La Sagesse de la Lumière
La Lumière de toutes les Lumières
La Lumière de la poussière du Sahara
Et de la poussière de la Casbah

Cette lumière suivait un chemin
Le chemin de la Sagesse

Sa francité voulait le posséder
Le posséder sans le libérer
Il choisit alors un chemin
Celui de la langue de ses aîeux
Qui le mena à la Casbah
Ce chemin s'appelait EL HOURYA.


EL HOURYA