lundi 22 mars 2010

Tahar Djaout....Azeffoun les environs....La Casbah !




Tahar Djaout (1980)
Un résumé de sa biographie

Tahar DJAOUT est né le 11 janvier 1954 à Oulkhou (Ighil Ibahriyen) Commune Ait Chafah, Daïra  d'Azzefoun.
En 1970 sa nouvelle Les insoumis reçoit une mention au Concours littéraire « Zone des tempêtes ». Il achève ses études l'année suivante au Lycée Okba d'Alger et obtient en 197 une licence de mathématiques à l'Université d'Alger
 
Tahar Djaout écrit ses premières critiques pour le quotidien El Moudjahid, collabore régulièrement en 1976 et 1977 au supplément El Moudjahid Culturel puis, libéré en 1979 de ses obligations militaires, reprend ses chroniques dans El Moudjahid
Tahar Djaout meurt à Alger le 2 juin et repose dans son village natal d'Oulkhou.




Un témoignage.




4eme rang debout :Tahar Djaout

Tahar allah erahmo, était mon camarade de classe depuis la 6eme jusqu’a la 3eme au collège la 

 Bab Ejdid

victoire à Bâb-djedid à cote de la prison Barberousse.

Prison "Barberousse"

Le directeur du collège était à cette époque Mr. Bekri un vrai matheux, Mr. Amghar prof de français avec un vrai accent de chez nous, Mr. et Mme. Barliot maths et français, Mr. Melin en géo, sans oublier Mr. Talazac un autre matheux dénommé papa noël.

Il nous distribuait a chaque rentrée 05 livres corriges de math, gratuitement qu’il ramenait de France.

Pour évoquer mon camarade Tahar, je dirai brièvement qu’il était très timide une timidité maladive à tel point qu’il n aimait pas monter au tableau. 

Un jour en corrigeant une dictée, il fait une petite faute d’inattention, le fameux prof Amghar, l’à quelque peu "crié" le lendemain, Tahar m’a demandé ou est-ce qu’il peut acheter un dictionnaire pas cher, je lui dis a la rue Randon pas loin de chez toi, si mes souvenirs sont bon il habitait a la rue Médée 

ou rue Porte Neuve, chez son oncle,ses parents habitaient en kabylie.

 Rue Porte Neuve en descendant vers la rue Randon


Voila quelques souvenirs de nos quatre années passées 6e 5e 4e 3e au collège la victoire ou souvent nous étions assis cote à cote.
M.Benzerrouk.



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