Mustapha Badie
Un résumé de sa biographie
Arezki BERKOUK, originaire d'Azzefoun, né à la Casbah, le nom de Mustapha BADIE, d'après des sources sures, c'est le nom d'empreint pris sur conseil du poète Moufdi ZAKARIA en 1944.
Moufdi Zakaria
Ses films (les principaux) « La Mère » en 1963, « La nuit à peur du soleil » en 1965, « Le sorcier » en 1969, « L'Evasion de Hassen Etterro » 1974 « L'incendie » en 1977 et « Kenza » en 1987.
Il fait ses débuts dans la troupe municipale du théâtre arabe de l'Opéra d'Alger, créée par Mahieddine Bachtarzi et Mustapha Kateb, avant d'acquérir une formation à l'ancienne RTF.
A l'indépendance, en 1963 il tourne « Nos Mères » un long-métrage inspirée de « Les enfants de la Casbah », la pièce d'Abdelhalim Raïs. Avec « La Nuit à peur du soleil » ensuite, une fresque de plus de trois heures pour le cinéma, en quatre tableaux « La Terre avait soif », « Les Chemins de la prison », « Histoire de Saliha » et « Histoire de Fatma ».
Puis « L'Évasion de Hassan Terro », avec Rouiched, mais c'est surtout le succès du feuilleton El Hariq (L'Incendie), adapté de la trilogie de Mohamed Dib pour le petit écran, qui lui vaut un exceptionnel succès populaire, dont la musique du générique que l'on entendait de loin, dans les rues des quartiers de la casbah, qui se désemplissaient dés les premières notes, et bien sur l'interprétation magistrale de « La Ainï » (Chaffia BOUDRAA).
Lla Aïni (El harik)
Son frère Ahmed un personnage admirable, d'une franchise déroutante, un boute en train, décédé lui aussi. Il demeure pour toujours au cimetière de Ben-Aknoun.
Mustapha Badie
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