IL faisait partie du groupe de choc !
Il a activé dans l’anonymat urbain, au sein de la Zone autonome d’Alger, où il a été l’un des éléments-clé de la bataille d’Alger.
Noureddine Cherouati...
«Très recherché par l’armée de Massu, mon père décide de s’éloigner de La Casbah, où il avait pourtant tous ses repères.Il rejoindra le maquis de la Wilaya 4, où il sera blessé au cours d’un combat à Tiberguent, sur les hauteurs de Blida. Il sera arrêté le 20 janvier 1959 et deviendra le compagnon de cellule de deux grands hommes : les colonels Zamoum et Bouguerra.
Après la prison de Damiette, il connaîtra celles de Hadjout, Chlef, Paul-Cazelles, et les charges qui pesaient sur lui le destinaient à la condamnation à mort, qu’il évitera avec la
proclamation de l’indépendance», dira le fils unique de Noureddine Cherouati, Rachid, qui est la photocopie de son défunt père.Ce dernier ajoutera : «Mon regretté père, qui s’est consacré corps et âme à son pays, à son indépendance, n’a pas cessé, durant toute sa vie, à parler des faux moudjahidine et des moudjahidine qui ont trahi les chouhada et les vraies valeurs du nationalisme.»
Abdenour Belkheir
Le kiosque de Nouredine Cherouati...
*...Après rénovation,Rachid n'est plus là avec son compère Omar,le spécialiste du thé,Rachid derrière son comptoir,avenant et toujours souriant,Omar le férue de chaabi,entre autres Amimer,pour les intimes ou Amar rampe vallée,ou bien Amar Ezzahi,entre parenthèse,pas si Zahi que çà ! Cela est une autre dissertation.
Mais ce kiosque a "disparu" depuis ...
Poclain et autres à plein régime
...
* Petit bout d’écrit et illustrations Daboudj1948
...A suivre
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