dimanche 31 décembre 2017

Ma Casbah...





























"Salle des ablutions",de la Mosquée Bichtine !



Abdelkader Zoukh. Wali d’Alger

«La vie des Algérois ne tournera plus le dos à la mer»

« …Une grande partie du quartier de La Casbah est en train de disparaître vue l’absence de politique de préservation de ce site historique, classé patrimoine mondiale. Y a-t-il une place, pour la restauration de ce qui reste, dans le plan d’action des projets structurants de la capitale ?
La Casbah prend une grande place dans ce projet. Cela répond à la politique globale du plan de sauvegarde de La Casbah, adopté en 2012, et qui touche 1816 bâtisses, reparties sur une assiette de 105 hectares. Parmi elles, près d’un millier sont des demeures de type traditionnel ottoman, ou mixte.
Une enveloppe de 24 milliards de dinars a été dégagée pour la mise en œuvre de ce plan d’action, dont la première tranche concerne 212 bâtisses, mosquées et palais, ainsi que les maisons historiques, mais également 192 habitations privées, qui ont été choisies pour leur vétusté et le fait qu’elles ne sont pas occupées par leurs propriétaires.
Vers la fin de 2016, nous avons lancé les travaux de restauration de la mosquée du Dey, des bains des Janissaires et de la Poudrière, de la mosquée El Barrani, avec ses deux dépendances mitoyennes à la citadelle, le palais des Beys, et le palais Hassan Pacha.
Il en est de même pour la restauration du palais du Dey, qui a démarré en juillet dernier, après qu’elle ait été confiée à l’entreprise algérienne qui a restauré le palais El Mechouar de Tlemcen. Cette opération est menée par des entreprises et des bureaux d’études algériens. Il faut noter aussi la restauration qui concerne 6 bâtisses historiques, où se cachaient les héros de la Guerre de Libération nationale.
Parallèlement, des entreprises sont en train de restaurer le réseau d’assainissement sans creuser. Pour le reste des 112 bâtisses à restaurer, des avis d’appel d’offres, pour les études, ont été lancés concernant 33 lots, dont 7 composés de 4 mosquées et 3 lots de bâtisses privées ont déjà été confiés.
En ce qui concerne la station musée du métro, il faut préciser qu’avant les découvertes archéologiques, elle devait être réalisée sur une profondeur de 12 mètres. Mais vu l’importance des résultats des fouilles et des découvertes, tout a été changé. La décision a été prise de faire une extension et de descendre à 34 mètres de profondeur pour réaliser une station métro, avec un musée archéologique à deux étages. Le projet a été mené grâce à la coopération algéro-turque… Le port, la place des Martyrs et prochainement les voûtes. Désormais les Algérois ne tourneront plus le dos à la mer…»
Salima Tlemçani
El Watan le 28.12.17

«La vie des Algérois ne tournera plus le dos à la mer» ?


C’est tout un programme, «La vie des Algérois ne tournera plus le dos à la mer», comme vous dites, alors dans le futur très, très proche, elle deviendra une *cité Lacustre.


Quant à notre Ex-El Mahroussa, à tous les vents aujourd’hui, nous aurions finis avec ce casse tête, puisque vu son délabrement, elle sera engloutit par les flots un jour de tempête !

Alors, que d’économie surtout, ferons nous, d’encre et de salives !!


"...Il est possible que ce type d'habitation ait présenté un intérêt aux époques où les lacs étaient riches en poissons, faisant donc de la pêche une activité de subsistance essentielle. Cependant, la pêche comme activité unique n'est avérée à ce jour dans aucun site archéologique palafittique. Au contraire, des traces indiquent que l'agriculture et l'élevage étaient pratiqués à proximité immédiate du village lacustre. Peut-être faut-il plutôt voir dans ce type d'habitat une fortification d'un type particulier, avec chemins d'accès et palissades..."

Source Wikipédia





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