Abstraction faite des controverses sur le premier jour de
l’année Hidjri, une fois de plus,le narrateur veut éditer ce billet, à l’abri de cette
cacophonie.
La vie continue avec nous ou sans nous, belle pour ceux qui
aiment la beauté, celle du cœur, les autres souhaitons et espérons que…….
C’est l’occasion pour certains de ce remémorer les
circonstances et l’objet de cet événement, et pour les autres la célébration de
ce jour par l’achat de friandises et « moukesirate », appelées « Trèze »
constitué de bonbons de chocolat et de noix en tous genres.
Pour les uns une bonne dinde, pour les autres un poulet
accompagné de couscous ou de « rechta » fait maison ou acheté généralement rue
de la Lyre « Lekyoisse », chez les marchandes et marchands ambulants postés un
peu plus en la circonstance à chaque coin de cette grande rue commerçante,
grouillant de monde.
Ces marchandes et marchands exercent leurs profession, si l’on
peut dire, à longueur d’année mais notamment les périodes des fêtes.
Leurs marchandises sont contenues dans des paniers ou
couffins, « Diyoul » « Ketayefe » et « Rechta ».
Le soir, après un bon dîner en famille chez soi, ou chez des
parents ou proches, un bon thé avec un morceau de « Ketayefe » aux amandes, aux
cacahuètes ou aux noix de coco.
Ras El Âam ou sanâa Hidjria, et puis dans quelques jours
Achoura !
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire