... Stalingrad ..C'est la Casbah !
La citadelle
Oh ! Dis moi ma citadelle pourquoi c'est triste
Tes remparts, forteresses, mures tes ruelles sont détruites
Parles moi de tes pigeons volant sur ton mausolée vénéré
Raconte le palmier, du saint patron d 'Alger
Ma ville légendaire de mes ancêtres
Écrit, parle, raconte moi de tes penseurs de tes maîtres
Comment les gens fêtaient le Mouloud dans le temps
Comment les pauvres les bourgeois vivaient au même rond
Plus là, les chaînes sur tes portes, je rentre en toi mais je frappe avant tout
Tes saints mystiques tes maîtres comme une étoile brillent de partout
S il te plaît ! Laisse-moi rentrer dans ton jardin
Boire un peu de ce puits de cet eau si lointaine
Du fort de l’étoile au cimetière des pachas
De la porte du ruisseau à la place Masinissa
Tes joies traditionnels, ces fêtes de l’Aïd, mariages et baptêmes
Ces soirées splendides du m’deh du chaabi des chansons qu’on aime
Berce-moi dans tes étroites ruelles comme l’oiseau en air
Avec Beaucoup d’ amour, comme le faisait pour moi ma noble mère
De l’horizon sereine ta baie si belle
Le ciel sur tes terrasses mauresques, tes minarets de loin comme une chandelle
Le croissant et l'étoile te symbolise, noble dans ta demeure
Ta terre sainte une place parmi toi plus peur et je meure
Oh ! Dis moi ma citadelle pourquoi c'est triste
Tes remparts, forteresses, mures tes ruelles sont détruites
Parles moi de tes pigeons volant sur ton mausolée vénéré
Raconte le palmier, du saint patron d 'Alger
Ma ville légendaire de mes ancêtres
Écrit, parle, raconte moi de tes penseurs de tes maîtres
Comment les gens fêtaient le Mouloud dans le temps
Comment les pauvres les bourgeois vivaient au même rond
Plus là, les chaînes sur tes portes, je rentre en toi mais je frappe avant tout
Tes saints mystiques tes maîtres comme une étoile brillent de partout
S il te plaît ! Laisse-moi rentrer dans ton jardin
Boire un peu de ce puits de cet eau si lointaine
Du fort de l’étoile au cimetière des pachas
De la porte du ruisseau à la place Masinissa
Tes joies traditionnels, ces fêtes de l’Aïd, mariages et baptêmes
Ces soirées splendides du m’deh du chaabi des chansons qu’on aime
Berce-moi dans tes étroites ruelles comme l’oiseau en air
Avec Beaucoup d’ amour, comme le faisait pour moi ma noble mère
De l’horizon sereine ta baie si belle
Le ciel sur tes terrasses mauresques, tes minarets de loin comme une chandelle
Le croissant et l'étoile te symbolise, noble dans ta demeure
Ta terre sainte une place parmi toi plus peur et je meure
Auteur inconnu...Mais "connu"
...A suivre
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