Plus haut , Antar l’improvisateur de jeux avec ses « Zoudj
efrak eldjaloula » à qui veut l‘entendre, en guise de balançoire une bicyclette
bricolée par ses soins avec deux selles de chaque côté, un artiste, ses voisins
les Mekhlef dont l’un deux ayant « embrasser » le métier de
journaliste, Sid Ali Zaoui avec son eternel béret basque, Mohamed Abdelli un parfait
imitateur de Lamari, un enfant du quartier de Sidi M’hamed Cherif, Mehrez un
joueur de banjo mort très jeune.
Faycal Mansouri, un étudiant doué parti très jeune aux émirats, il
y à longtemps, n’en est plus revenu, à coté un mini café racheter par
Abdelkader Chergui, décédé suite à une longue et pénible maladie, pour en faire
une bijouterie en association avec Ali « Chitane ».
Aâmi Akli le serrurier dans sa petite échoppe, à coté de
l’immeuble des Oubabass.
...A suivre
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