dimanche 20 novembre 2011

Ighil Mahni…Aïd El Kebir le mois de novembre !




Un silence de rêve, une quiétude que brise de temps à autre les oiseaux qui se chamaillent pour un vers ou autres insectes, d’autres s’amusent gaiement dans une couses poursuite, dans les airs bien sur, des toits des maisons aux arbres qui foisonnent, ici la nature est Reine !



 
A Alger, c’est les prémisses de l’Aïd El Adha, la lucarne nous sort sa chanson « fétiche », et  autres des tiroirs poussiéreux, comme chaque année, Cheikh Abdelkrim Dali, avec son « Mabrouk hidkoum » Allah yaharmek ya Cheikh.
Ces chansons, cette année diffusée conjointement avec des mini-reportages consacrés à nos héros d’hier, vivant aujourd’hui, quand aux  morts de temps à autres on nous sort un nom presque inconnu, et bien sur de ces mêmes tiroirs les  mêmes téléfilms et films, sans oublié les chants baptisé patriotiques, le temps c’est figé depuis, c’est le mois de novembre !!
Un mois de novembre morne et triste, comme notre supposée capitale, de tous les maux, sous une forte pluie, le contraire aurait été anormal.
Une ville desserte, une ville morte, d’ailleurs elle est morte de puis belle lurette, grâce à des apprentis sorciers en tous genres.
Quelques drapeaux ou oriflammes, par-ci, par-là, à titre de repère peut être notre mémoire a « foutu le camp », malgré elle !!

...A suivre

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