lundi 26 avril 2010

Ighil Mahni….Azeffoun encore et Toujours jusqu'à...


Le port d'Alger des nuages qui s'amoncellent

Azeffoun et ses environs sont gais….. Alger et ses environs sont tristes !

Nous avons pris la route, vers une heure trente de l’après midi, un embouteillage terrible le temps était maussade. 

 C'est notre village


Arrivé à notre village aux environs de quinze heures, dire que le trajet nécessite au plus deux heures de route. 
Il faisait beau, le contraire m’aurait étonné un mois de juin les prémices du printemps, de la verdure à perte de vue des coquelicots, des marguerites et autres fleurs, je ne dirais pas sauvages, car, de part leurs beautés, c’est leur faire injures. 
Par-ci, par -là des troupeaux de vaches de chèvres et de moutons en train de paître paisiblement, une herbes qui pouvaient atteindre par endroits un mètre. 
Après avoir réglées certaines tâches, nous prime le chemin de retour, à quelques kilomètres de Freha, nous avons fait une première halte, pour l’achat de sa Grâce Madame LA POMME DE TERRE, pour un prix de rêve, en cageot de vingt cinq kilogramme, vingt un dinars le kilogs, en vrac vingt trois dinars, les oignons à cinq dinars. 
Puis une deuxième halte au marché de Freha, achat de laitue à quarante dinars, de la belle laitue, main non pas des « choux » et chez le toujours sympathique vendeur d’huile d’olive dans sa petite baraque peintre en vert à la sortie du village, deux litres d’huile à trois cent quatre vingt dinars, le litre. 

Freha une des artères commercante

Puis direction Alger, à l’horizon des nuages grisâtres avec des éclairs de temps en temps, il devait pleuvoir quelques part mais ou ? 
Dépassant les environs de Boumerdés à l’entrée d’Alger quelques gouttelettes, arrivées aux environs de Dar El Beida, une pluie diluvienne ! 



Je me suis rappelé cette chanson intitulée « Anebdou Yourel Dé Chetyoi », (je m’excuse pour la transcription), lourde de sens ! 
Je m’arrête là. 

Ighil Mahni le 11 juin 2008

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