lundi 26 avril 2010

Ighil Mahni la terre de mes Ancêtres





Nous nous sommes levés à cinq(05) heures du matin, afin d’arriver à l’heure de départ du bus reliant Alger à Azzefoun. Malheureusement arrivé à la gare routier, à six(06) heures, il était parti, nous avons du prendre celui assurant la ligne Azzaga Bejaia, une astuce descendre à l’embranchement de Freha.
Arrivé à l’embranchement nous avons pris un « G5 » (petit bus) pour Freha, il faisait quelque peu froid, un froid doux, c’est la campagne sans le gaz carbonique, le brouhaha, le stress le mal du siècle, des villes dortoirs.
D’antan, le seul mal et remède que l’on connaissait, était les maux de tète calmé avec des compresses de vinaigre, et pour ceux qui ne supportait pas son odeur, l’eau de fleur de d’oranger.
Plus tard, bien plus tard avec de « l’aspro » (sans publicité) des comprimés à l’aspirine que l’on achetait chez l’épicier du quartier. 




Nous sommes descendus à Freha, il était dix heures, achat de deux litres d’huile d’olive de la région, chez le sympathique propriétaire du lieu, une baraque en tôle ondulé peinte en vert.
Puis direction chez l’un des quincailler, pour l’acquisition d’une tête de réchaud à butane, à titre d’indication, le prix de certains articles par rapport à ceux affichés à Alger sont plus que raisonnable (publicité gratuite puisque réel).
Les alentours, le marché une grande animation, telle une ruche débordante d’activité, un plaisir à voir tout ces gens vaquaient à leurs occupations, un autre constat la courtoisie des commerçants envers la clientèle et la repartie facile, un plaisir. 



Nous avons continué notre route, pour atteindre notre village, notre beau, très beau village, nous ne lasserons de le répéter, ne nous en veuillez pas.
En passant par Agrhibs, nous constatons une animation, c’était les prémices du prochain vote (les communales).
A ce sujet, sans esprit partisan aucun, nous souhaitons que le sympathique maire sortant, soit réélu, un jeune d’un niveau plus que appréciable et puis nous osons, il s’agit de YERMECHE Rabah.
Arrivé à notre village il était dix (10) heures quarante minutes...,





....un petit repos, un peu de ménage, un petit café avec des fougas de Freha des vrais, pas des fougas « extra plat », nos excuse pour l’expression. Douze (12) heures des clameurs, les gosses de l’école principale du village, qui prennent leurs recréations.




La pluie qui s’est abattue la semaine précédente a fait quelque dégâts, des éboulements par ci par la, effondrement d’un mur de soutènement datant de l’époque coloniale, donnant sur le siège provisoire, de la sympathique association culturelle « H’nifa », une baraque désaffecté une ancienne unité départementale de la santé datant aussi de la même époque (coloniale) bâtit sur les terres du père de la défunte « H’ nifa ». 




Si ce n’était la période électorale, ordre aurait été donné par l’équipe qui régissait cette commune, pour la reconstruction de ce mur sans aucun délai.
Nous avons appris, que l’association a procédé à la distribution de trousseaux scolaires, initialement prévues aux gosses nécessiteux, devant l’ampleur des dons, du à l’élan de solidarité en pareille cas, à fait que tout les enfants sans exceptions, ont bénéficié de cet acte, merci pour tous ses gosses et bonne continuation.
Par ailleurs, suite à un problème d’ordre purement technique, l’association a du sursoir, à la parution d’un bulletin relatant ses activités mais ce n’est que momentanée. A bientôt !

Ighil Mahni le 13 novembre 2007

Aucun commentaire: