(Suite du précédent message)
Retournons là
ou l’oxygène n’est pas « distribué avec parcimonie » !
Ighil Mahni, se
réveille sous une gentille petite pluie fine, j’ose la décrire adorable, existe-il
une pluie telle que décrite ci-haut, oui,
là ou la nature a droit de cité, une Reine au risque de se répéter, Allah
ebahede halyna el aïne, comme disaient nos anciens !!
On se prépare
de bonne heure, pour partir à la mosquée, il fait frais mais pas froid disons
pour simplifier, un froid doux.
A la fin de la prière, c’est la présentation des vœux entre les villageois
présents, et villageoises présentes.
De retour au logis, la deuxième étape de ce jour sacré celui de préparer
les ustensiles et autres pour le sacrifice du mouton.
Direction l’écurie du bas du village pour prendre possession de chacun
son mouton, chez notre frère M’hand, ou l’un de ses frères, l’autre écurie se trouve
en haut du village, celle du bas est choisi judicieusement pour éviter le longs
parcours quelque peu pénible avec un mouton quelques peu capricieux, pour ceux habitants le bas du
village, merci M’hand !
Certains des villageois font la commande de leurs moutons quelques jours auparavant.
Le rituel accompli, place aux grillades une cuisine en plein ciel, avec
les relents, cela vous met l'eau à la bouche, sous une pluie fine, mais alors très fine par intermittence, je me répète
c’est plus fort !
A Alger, c’est une pluie diluvienne, enfin ce qui était Alger ou ce qui
en reste !!!
Bonne Fête à Toutes et à Tous !
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