Un silence de rêve, une quiétude que brise de temps à autre
les oiseaux qui se chamaillent pour un vers ou autres insectes, d’autres s’amusent
gaiement dans une couses poursuite, dans les airs bien sur, des toits des
maisons aux arbres qui foisonnent, ici la nature est Reine !
A Alger, c’est les prémisses de l’Aïd El Adha, la lucarne
nous sort sa chanson « fétiche », et autres des tiroirs poussiéreux, comme chaque
année, Cheikh Abdelkrim Dali, avec son « Mabrouk hidkoum » Allah yaharmek ya Cheikh.
Ces chansons, cette année diffusée conjointement avec des mini-reportages
consacrés à nos héros d’hier, vivant aujourd’hui, quand aux morts de temps à autres on nous sort un nom presque
inconnu, et bien sur de ces mêmes tiroirs les
mêmes téléfilms et films, sans oublié les chants baptisé patriotiques, le
temps c’est figé depuis, c’est le mois de novembre !!
Un mois de novembre morne et triste, comme notre supposée capitale,
de tous les maux, sous une forte pluie, le contraire aurait été anormal.
Une ville desserte, une ville morte, d’ailleurs elle est
morte de puis belle lurette, grâce à des apprentis sorciers en tous genres.
Quelques drapeaux ou oriflammes, par-ci,
par-là, à titre de repère peut être notre mémoire a « foutu
le camp », malgré elle !!
...A suivre
...A suivre
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