Un endroit, que tu connais trop bien,Lounès, appelé Tahwinet N'etaleb
ASKRI Lounés, natif du village d’Ighil Mahni n’est plus, il est parti, il y’a déjà de cela deux ans, une certaine nuit de vendredi vers vingt deux heures, il s’est éteint Lounès, après une dure bataille contre la mort.
Son enterrement s’était déroulé dans son village natal un dimanche six avril 2008.
Il est partit, avant de mieux le connaitre, mon nouvel ami Lounès, il est partit un vendredi à vingt deux heures, un quatre avril 2008.
Il est partit sans qu’on puisse faire plus ample connaissance, d’une maladie qui pardonne rarement sauf si le Créateur décide autrement.
Deux jours avant sa mort, en lui rendant visite sur son lit d’hôpital, ce jour là, il était conscient, je lui avais dit « courage », il m’a répondu « ce n’est pas le courage qui manque », c’est un message qu’il voulait peut être me transmettre, ce message je pense l’avoir compris.
En sortant de sa chambre, à travers la baie vitrée, je l’ai salué de la main, il a répondu à mon salut de la main aussi.
En sortant, ce jour là, je me suis mis à penser est ce, un au revoir, qui sait, seul Dieu le sait.
Effectivement, c’était un au revoir, lendemain matin en me rendant, à l’hôpital Mustapha, dans le but de faire don de mon sang, sa famille ayant sollicité des donneurs pour une problématique intervention chirurgicale, il était parti pour un long ,très longs voyage qui nous attends tous !
J’avais écrits ceci en apprenant sa mort ; « On se rencontrera là-bas pour se raconter nos espoirs, mais beaucoup nos déceptions, un sentiment d’inachevé, on aurait voulut être grands père, avec une multitude de petits enfants tout autour de nous, telle une image d’Epinal !
On aurait voulut, vivre un peu plus, pour rectifier certaines choses entamées ou allaient êtres entamait, mais mal conçue ou mal réfléchie, mais le sort en a voulut autrement.
A très bientôt ami Lounès, attend moi.
Nous retrouverons qui sait, un endroit ressemblerait à notre beau village, Ighil mahni, nous nous installerons sous l’arbre prés du puits de ta demeure familiale.
Tu me raconteras, l’histoire de notre village, je devine qu’elle est passionnante, et toutes les anecdotes relatives à mes oncles, que je n’ai pas la chance d’avoir connu, la vie citadine est un tourbillon, notamment âami Moh.
A travers, ta mémoire, le courage des habitants face à toutes les adversités, qui découla de l’occupation, expulser de leurs terres ancestrales, et peuplé par les habitants d’un autre village appelé Tizha.
Attends moi mon amis Lounés, j’ai soif d’apprendre à bientôt ! »
Attends-moi toujours !
Daboudj1948
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