Rue Kleber en médaillon "MOMO"
Ma Bahdja, ma tatouée!
Je te rejoins, toi la Bahdja
Toi la cité de mes aïeux
Toi la cité de mes aïeules
Toi la cité des civilisées
Celles qui ne voulaient plus se tatouer
Les tatouages des mouachmates
Ces nobles et libres sont mes aïeules
Ces amazigh sont mes aïeules
Elles se sont interdit le tatouage
Qui n'était plus de tradition
Fi bled Sidi Abd El Rahman
Bled le message de miséricorde
Ce tatouage, cette marque indélébile
Qu'on inscrivait sur le front
Comme sur le fronton d'une porte
Comme une lettre de noblesse
Ou comme une lettre d'avanie
Comme un testament
Ou comme un casier maudit
Le tatouage ,cette marque de noblesse
Le tatouage ,cette marque des exilées
Elles étaient toutes tatouées
Sur le front et les chevilles
Sans oublier bien sûre les mains
Elles portaient les marques des maux disparus
Les mots d'un temps ,d'un temps perdu
Les maux et les signes des clans
Les marques des maux disparus
Les maux d'un temps d'un temps perdu
Des maux qui deviennent des signes
Des mots qui deviennent des symboles
Les symboles qu'une encre indélébile
Grave cette trace de chair et de sang
Grave cette trace d'un pure sentiment
Le sentiment qui nous rappelle à la terre
Le sentiment qui nous rappelle à Babel
Babel et son sentiment de confusion
Cette confusion des temps perdus
Qui exprime tous les maux incompris
Qui exprime tous les mots incompris
Mes aïeules étaient des mouachmates
Mais aussi des Mostahdérates
Ce qui veut dire civilisée
Avec sur le front ,khit el rouh
La marque de la vie et de l'espoir
Mes Mostahdérates à la Casbah
A la Casbah d'Alger ou à celle de Médéa
Oui Mienne Casbah, oui Bahdjati
Tu n'es pas une ville ou un pays
Tu es le Monde et ses Merveilles
Car je te retrouve ,partout ou je vais
Tu as été classée, mais aucune cité n'a TA CLASSE
Car même vieille et toute édentée tu inspires
Encore par ta grâce.
EL HOURYA
Je te rejoins, toi la Bahdja
Toi la cité de mes aïeux
Toi la cité de mes aïeules
Toi la cité des civilisées
Celles qui ne voulaient plus se tatouer
Les tatouages des mouachmates
Ces nobles et libres sont mes aïeules
Ces amazigh sont mes aïeules
Elles se sont interdit le tatouage
Qui n'était plus de tradition
Fi bled Sidi Abd El Rahman
Bled le message de miséricorde
Ce tatouage, cette marque indélébile
Qu'on inscrivait sur le front
Comme sur le fronton d'une porte
Comme une lettre de noblesse
Ou comme une lettre d'avanie
Comme un testament
Ou comme un casier maudit
Le tatouage ,cette marque de noblesse
Le tatouage ,cette marque des exilées
Elles étaient toutes tatouées
Sur le front et les chevilles
Sans oublier bien sûre les mains
Elles portaient les marques des maux disparus
Les mots d'un temps ,d'un temps perdu
Les maux et les signes des clans
Les marques des maux disparus
Les maux d'un temps d'un temps perdu
Des maux qui deviennent des signes
Des mots qui deviennent des symboles
Les symboles qu'une encre indélébile
Grave cette trace de chair et de sang
Grave cette trace d'un pure sentiment
Le sentiment qui nous rappelle à la terre
Le sentiment qui nous rappelle à Babel
Babel et son sentiment de confusion
Cette confusion des temps perdus
Qui exprime tous les maux incompris
Qui exprime tous les mots incompris
Mes aïeules étaient des mouachmates
Mais aussi des Mostahdérates
Ce qui veut dire civilisée
Avec sur le front ,khit el rouh
La marque de la vie et de l'espoir
Mes Mostahdérates à la Casbah
A la Casbah d'Alger ou à celle de Médéa
Oui Mienne Casbah, oui Bahdjati
Tu n'es pas une ville ou un pays
Tu es le Monde et ses Merveilles
Car je te retrouve ,partout ou je vais
Tu as été classée, mais aucune cité n'a TA CLASSE
Car même vieille et toute édentée tu inspires
Encore par ta grâce.
EL HOURYA
2 avril 2011 19:01
Qu'as-tu mienne Casbah?
Je me sens abandonnée
Mais pas encore esseulée
Vois-tu mienne Casbah
Nous sommes là
Nous serons toujours là
Inchaâlllah pour te rassurer
Tu es notre Terre
Tu es notre Mère
Tu es notre Cœur
Et aussi notre Lumière
Tu nous lance ton appel car tu es là
Comme un appel à la vie
Tu nous rappelle
Le grand souffle vital
De la Lumière de cristal
De l'arbre béni
Nous n'étions pas chez nous
TU ES EN NOUS
Et nous étions tes Hôtes
Ce qui est merveilleux avec Toi
TOI la plus belle des perles
TOI la Bahdja des Bahdjates
C'est que tu nous fait toujours rêver
Le Rêve ,la richesse qui ne décline pas
Le Rêve, la seule richesse qu'on ne vole pas
Tu vois mienne Casbah
Nous rejoindrons ta poussière
Qui ne sera pas notre fin . "Inchaâllah"
Casbah mystique, Casbah mystère
Casbah Mystique, Casbah Unique
Casbah sublime tu ne dis plus un mot
Casbah poussière tu ne souffles plus tes maux.
Casbah des possédés
Casbah des éloignés
Casbah Royaume
Casbah Lumière, je t'ai rencontrée
Ta Lumière m'a guidée vers la Lumière
Merci Bahdja lumière
"Oua al hamdou li Allahi, Allah yarham ali aâlamli."
EL HOURYA.
Je me sens abandonnée
Mais pas encore esseulée
Vois-tu mienne Casbah
Nous sommes là
Nous serons toujours là
Inchaâlllah pour te rassurer
Tu es notre Terre
Tu es notre Mère
Tu es notre Cœur
Et aussi notre Lumière
Tu nous lance ton appel car tu es là
Comme un appel à la vie
Tu nous rappelle
Le grand souffle vital
De la Lumière de cristal
De l'arbre béni
Nous n'étions pas chez nous
TU ES EN NOUS
Et nous étions tes Hôtes
Ce qui est merveilleux avec Toi
TOI la plus belle des perles
TOI la Bahdja des Bahdjates
C'est que tu nous fait toujours rêver
Le Rêve ,la richesse qui ne décline pas
Le Rêve, la seule richesse qu'on ne vole pas
Tu vois mienne Casbah
Nous rejoindrons ta poussière
Qui ne sera pas notre fin . "Inchaâllah"
Casbah mystique, Casbah mystère
Casbah Mystique, Casbah Unique
Casbah sublime tu ne dis plus un mot
Casbah poussière tu ne souffles plus tes maux.
Casbah des possédés
Casbah des éloignés
Casbah Royaume
Casbah Lumière, je t'ai rencontrée
Ta Lumière m'a guidée vers la Lumière
Merci Bahdja lumière
"Oua al hamdou li Allahi, Allah yarham ali aâlamli."
EL HOURYA.
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