Expo de Shanghai, le pavillon africain, dont celui de l'Algérie, La Casbah à l'honneur, après que des pans entiers sont tombés en ruines, comme un château de cartes, elle agonise !
Elle revit de temps à autre, dans les occasions tel cet expo de Shanghai !Ces sociétés au bon cœur ne pouvaient- ils pas financé La Casbah « la vraie » ? Et participer ainsi à la renaissance, notre belle cité, (au passé), nous leurs serions éternellement reconnaissant, avec les bénédictions du Patron de la ville Sidi Abderrahmane !!
Une modeste recommandation, si mon appel de détresse est entendu, que vos travaux se fassent avec les conseils des vrais habitants et non d’apprentis sorciers de tous bords !!Je le demande à travers cet écrit, si j’ai de la chance qu’ils le lisent !!
Lisez ce qui suit ou plutôt sentez lesroses de ce bouquet que m’a offert, ma petite sœur EL Hourya de la Casbah, un hymne ;
Si Daboudji Car vous versez des larmes pour la Casbah Si Daboudji ,moi je vous dis Les larmes du cœur qui pleure Sont les larmes de la légèreté, et du Bonheur
Des larmes qui ruissellent comme la rosée Du matin bonheur ,de la Casbah de nos cœurs Les gouttes de la rosée du matin Sont les fruits des odeurs du jasmin
Cette Lumière du matin Qui combat tous les chagrins Nous ne sommes que poussière Comme Ma Casbah poussière
Mais la Lumière rend à la poussière La Noblesse du Ferdews El Aâla Celle du paradis Eternel Du temps de la Casbah,comme pyramides de Saqharah. Ces pyramides d'un autre temps
Dont El Casbah a l'équivalent Prés de toi Ma Casbah Ya El Baîda La perle de toutes les Lumières Qui sort des clairs obscurs Les mystères du Médracen et de Saqharah
Ces larmes qui pleurent la poussière qui porte la Lumière Cette Lumière qui nous attendra au Paradis Inchaâ Allah avec dans nos cœurs Avec ce que la Casbah a gravée dans nos pleurs
Des paroles du cœur gravées pour toujours Dans les bénédictions de l'Amour de nos mamans Des bénédictions qui seront Inchaâ Allah Les chemins tracées du verbe qui trace le sillon
Le sillon de la parole de la bénédiction et de le filiation Le sillon de la Lumière de Ayouha El Ness Parole du Prophète Mohammed Sala Allahou Alaihi oua Salam Qui nous accueillera tous Inchaâ Allah
Le jour où l'Inéluctable, gravé à jamais Au Paradis perdue d'Adem Essalamou alaihi La Lumière du Prophète ,sala Allahou Alaihi oua Salam Cette Lumière de Casbah Lumière Qui se reflète dans votre cœur Comme dans le cœur de toutes les mamans
Qui prient le Ciel dans la poussière Et qui prient dans la Casbah poussière avec douleur Les larmes sont le prix du cœur Le cœur qui se détache de la pierre et de la poussière il s'allège en prenant le poids de la plume Cette plume qui ne pèse plus qu'un atome
Ce poids plume du cœur de celui qui ,entend La voix des cœurs et des mots dans les maux de tous les temps Les maux non tracés par l'écriture dite sacrée Celle des hiéroglyphes qui tracent le chemin
Le chemin de l'âme des pharaons, vers le Royaume des Cieux Le Royaume des Cieux qu'ils ne peuvent atteindre Qu'avec le cœurléger, léger comme une plume Des cœurs en pleurs, qui ont bâtis les traces de tous les empires
Des traces gravées sur le roc Gravées sur les pierres qui partent en poussières
El Marhoum Momo à la Casbah m'a dit:
Ce cœur que les embaumeurs De notre civilisation millénaire Laissaient dans le corps des pharaons
Ce cœur devait être léger Pour ne pas peser dans la balance Ce poids plume à la juste mesure De la balance Juste du prix du Firmament
Ce cœur léger
Au prix du poids d'un atome, que nous la Zelzela L'Ecriture Sacré du Saint Coran Le Saint Coran ,La Lumière de toutes les Lumières
Et c'est pour cela que Ma Casbah est une Lumière Casbah Lumière, Lumière de toutes les Lumières. Casbah lumière de toutes les civilisations millénaires
Qui sont toutes devenues poussière Poussière de l'histoire et des monuments Cette Histoire de l'Homme et de son évolution De son progrès,de son apogée et de sa déliquescence qui annonce la chute qui l'attend
Cela est une certitude Momo El Marhoum m'a dit:
Et rien qui ne change Sauf l'histoire qui recommence avec La Renaissance Du phénix qui renait de ces cendres Des cendres qui ne sont qu'une poussière Qui retourne toujours à la poussière
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